Ce n'est qu'un au revoir....

Je vous rassure - je ne quitte pas la blogosphère.

Même si nous ne sommes pas encore le 1er juillet (journée officielle du déménagement), je quitte mon petit chez moi virtuel depuis bientôt 2 mois….

Je suis maintenant déménagée là :

www.pauseminimin.zxq.net

(ouais… bon... désolée pour l'adresse un peut compliquée...un webhosting gratuit ne donne pas beaucoup de choix!)

J'espère vous y retrouver!

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L'art du foulard

Image: Café Mode

Ah… Les foulards… j’adore les foulards! Ça donne un petit air européen et plus ils sont grands, plus je les aime. C’est simple, je dois en avoir au moins une dizaine (de toutes les couleurs). Selon les stylistes hype de ce monde, ça va à tout le monde et ça égaie toutes les tenues…mais ils ont omis un détail crucial : c’est un accessoire cool à condition de savoir les porter!

Je l’avoue, les foulards sont une énigme pour moi. J’ai beau en avoir plusieurs, je ne sais toujours pas comment les porter. J'admire ceux qui arrivent à le porter si... effortlessly (voir photo ci-haut) Alors, ce que fait avec? Je me drape dedans comme dans une doudou. Ou encore, je l’enroule autour de mon cou et comme j’ai un petit cou, on dirait que ma tête flotte sur un coussin. Autrement, je ne sais pas quoi faire avec ce bout de tissu…

Heureusement, internet est là pour m’insuffler un peu d’imagination! Oui, oui, parmi les sites sur les hijabs, les sites d’anarchie sociale (ie : comment attacher son foulard comme signe de résistance) et les sites sur le plaisir de s’étouffer (qu’est-ce qu’on ne pourrait pas trouver en tapant les mots « mettre foulard comment » dans Google!), j’ai trouvé pas 1, mais 2 vidéos montrant étapes par étapes comment dompter ce damné foulard.

Celui-ci nous montre quoi faire avec les grands foulards

(type paschmina) :

Celui-là : quoi faire avec des foulards d'hiver

(type notre bon vieux foulard de laine!) :

Maintenant le foulard n'a (presque) plus de secret pour moi!

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Qu'est-ce qu'un voyage?

C'est sur cette question que Louis Vuitton a décidé d'élaborer sa première publicité télévisée (en onde depuis le 15 février en France). Bien sûr, un voyage, c'est pour voir du pays, changer d'air et découvrir de nouvelles contrées. Mais également, comme nous le démontre cette annonce léchée, un voyage peut être intérieur, philosophique et durer toute une vie... comme le temps que ça prend pour économiser la somme nécessaire afin de pouvoir un jour s'offrir un sac à main LV...

Journey - Louis Vuitton (1m30)

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Europea : le jour où la campagnarde est devenue accro de la haute

Mon premier contact avec le restaurant Europea fut lors d’une leçon sur les bonnes manières. Lors de cet événement, les organisateurs ont invité le célèbre chef Jérôme Ferrer pour concocter un menu diabolique qui mettait nos manières à rude épreuve... Je me souviens entre autres d’une caille rôtie entière (ie : non désossée) avec une farce au foie gras… mmm…terriblement bon, mais impossible à manger! Si c’était juste de moi, je l’aurai mangé avec les mains, mais ce n’était pas là le but de l’exercice. Maintenant que je suis passée euh…maître des manières de table (oui, je vous le jure!), je me sentais d’attaque à essayer le restaurant et l’occasion s’est présentée hier.

D’abord, de la rue, le restaurant passe presque inaperçu puisque caché dans le sous-sol d’un petit immeuble. L’accueil m’a un peu surpris : Il faisait très froid et l’hôte est sorti du restaurant nous accueillir dans l’entrée vitrée et nous a ensuite mené à notre table. C’est vraiment très cozy (lire : très petit), mais on ne s’y sent pas du tout à l’étroit. C’est très beau et en m’assoyant, j’ai fait l’effort de me rappeler mes leçons de manières à table : commencer par les ustensiles de l’extérieur et aller vers l’intérieur, prendre de petites bouchées, la serviette pliée en 2 sur ses genoux etc. Les serveurs, tous de noirs vêtus, étaient très efficaces et tous français (et très courtois!), ce qui ajoutait une touche de classe. Je dois avouer qu’au départ, c’était un peu intimidant pour la fille pas trop habituée à de tels endroits, mais rapidement, je me suis sentie très à l’aise et l’atmosphère n’était pas guindée.

La faune de la place un samedi soir : un mélange de jeunes professionnels, d’amoureux et de gens plus vieux. Tous très chics (Exit les joggings!) Ça fait exprès…Moi qui suis à la recherche d’une veste/châle en laine, presque toutes les femmes en portaient une ce soir là!

Au début, je me suis dit que ça va être un de ces restos où la description des plats est inversement proportionnelle à la taille des portions et que les miniatures portions nous lasseraient sur notre faim, mais non… En fait, ces toutes petites portions ont pris une véritable expansion une fois dans l’estomac et j’étais bien contente d’avoir mis une robe ample ce soir-là!

Ce que je retiens de ma soirée : la succession de bouchées à n’en plus finir! C’est vrai, dès que l’on arrive (3 bouchées, dont un pruneau enrobé de proschutto – surprenant le mélange sucré/salé) et pendant qu’on attend (un capuccino de homard à l’huile de truffe - Un peu bizarre, mais bon). Ensuite une entrée (trois sortes de foie gras pour moi et un tartare de bison pour lui) suivit encore d’une autre bouchée (mousse de foie gras… j’en ai presque fait une overdose!). Le plat principal (3 pétoncles géantes apprêtées de 3 façons différentes pour moi et agneau pour lui) suivit… d’un pré-dessert (crêpe au centre au chocolat dans une sauce au fruit de la passion, loukum, mini-macaron et un grenre de crumble au pomme) et d’un post-pré-dessert (des madeleines miniatures tout chauds), du dessert en tant que tel (un truc glacé au fruit de la passion bardé de chocolat blanc) et d’un post-dessert (des fraises habillés d’un tuxedo au chocolat et des tranches d’oranges confites au chocolat). Même le thé et le café étaient accompagnés d’une sélection de sucre de toute sorte (petits pots de sucre au gingembre, au citron, aux fraises, etc).

Ça y est…La campagnarde que je suis a pris goût au raffinement et à la haute gastronomie, au grand malheur du porte-feuille de chéri…

Même en écrivant ces lignes, je pense déjà à ma prochaine visite… où je vais essayer le menu dégustation « 9 services » (ce qui nécessitera probablement un jeûne de 2 jours pour pouvoir tout manger!). En attendant, ma prochaine visite sera à la boutique du restaurant dans le Vieux-Montréal pour… des macarons! J’ai déjà hâte de me bourrer la figure de ces petits biscuits… je salive juste à y penser (slurp!)

Bonne nouvelle : les proprios de l’Europea viennent d’ouvrir un bistro sur la Côte-du-BeaverHall. Évidemment, c’est sur ma liste d’endroits à essayer et c’est probablement pour bientôt (puisque plus abordable!)

Pour le site du resto (Europea), cliquer ici.



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Le prix de la performance

Image: www.modernlifeisrubbish.co.uk

Qui n’a jamais reçu des pourriels (aka : spam mail) dans son inbox offrant des pilules ou vantant les mérites de prothèses pour augmenter euh… sa virilité? Avant de programmer mon filtre courriel, je recevais au moins 3 ou 4 messages du genre par jour. Ça m’a toujours fasciné… qui serait assez naïf pour y croire? Est-ce qu’il y a vraiment des gens qui mordent à l’hameçon? Eh bien, j’ai eu la réponse dans le journal de ce matin.

Vrai de vrai : Un homme de 78 ans a poursuivi sans succès son médecin pour un montant de 175 000$ parce qu’il n’était pas satisfait de son implant… Il a été mis en preuve (!) qu’il était très porté sur la chose et comme il s’était tanné du Viagra, il a cherché une solution, disons, plus permanente. Il est à noter qu’il n’a pas eu l’idée au travers d’un spam, mais bien après avoir vu une publicité à la télévision (je ne savais même pas que de telles publicités passaient à la télévision au Québec!) Une fois l’appareil installé, l’homme en question a eu des complications de santé et en plus, selon lui, la prothèse n’était pas à la hauteur (ok… jeu de mot facile…) Parmi les problèmes : l’appareil ne se dégonfle plus complètement... Donc, il a poursuivi le médecin et a été débouté en cour.

Pauvre monsieur quand même...

Pour lire l’article au complet (paru dans La Presse), cliquer ici.


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Trouver l’amour en ligne, c’est comme acheter un four…

Ah…. L’amour! J’aime penser que l’amour est une de ces choses qui ne s’expliquent pas et qui arrive simplement. Cependant, cette vision romantique n’est malheureusement pas partagée par tous… Je m’explique.

Il y a eu des études scientifiques sur l’amour (conclusion, c’est une réaction chimique!) et ensuite des études sociologiques… voilà que maintenant, l’Institut économique de Montréal a publié cette semaine une étude où l’on a appliqué un modèle économique aux relations amoureuses en ligne!

Selon l’auteur de cette étude, Mathieu Laberge, trouver l’âme sœur par le biais d’un site de rencontre obéirait à la loi élémentaire de l’offre et la demande. Donc, le comportement de ceux en quête de l’amour en ligne ressemble étrangement à celui d’un consommateur rationnel qui magasine d’acheter. Comme le temps, c’est de l’argent, les gens (surtout les hommes aux revenus plus élevés) vont essayer de trouver le moyen le plus rapide pour arriver à un même résultat, ce qui ce qui explique en partie le succès des sites de rencontre.

Toujours selon cette étude, pour avoir du succès sur ce site (ou comme partout ailleurs), il faut se démarquer et il y a plus d’hommes que de femmes qui se sont inscrits aux services « premium » payants qui permettent d’envoyer des messages personnalisés. La crédibilité est également importante et donc, les profils avec photos ont plus de succès. Vous voulez des chiffres? 50% des hommes sans photos se disent en bonne forme physique contre 44% des hommes avec photos. Comme quoi ceux qui mettent une photo sont plus crédibles que ceux qui n’en mettent pas!

Même la théorie de l’évolution où l’adage qui dit que les hommes préfèrent les femmes plus jeunes sur un instinct de reproduction et que les femmes préfèrent les hommes plus âgés pour pouvoir assurer une stabilité à leurs progénitures se trouve confirmée par cette recherche. La preuve : les femmes de 26 à 35 ans reçoivent plus de messages que les hommes du même groupe d’âge. De plus, la demande pour les hommes de 55 ans et plus est plus grande que celle pour les femmes du même âge. Donc, comme il y a plus de demande que d’offre pour ces gens, c’est eux qui sortent les grands gagnants…

Étonnant… Retenons que pour maximiser sa « rentabilité » amoureuse en ligne, il faut se démarquer et que l’offre et la demande jouent un rôle important dans l’établissement des relations amoureuses….Disons que c’est une vision nettement moins romantique de l’amour! Avis aux célibataires!

Pour la recherche complète cliquer ici (la version PDF est gratuite)

Pour un résumé paru dans La Presse, cliquer ici

Joyeuse Saint-Valentin!

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Saint-Valentin: affronter la foule ou...

J'ai eu la mauvaise idée hier de passer par PVM à l'heure du midi pour aller à la pharmacie me chercher des vitamines. Il y avait foule partout (surtout des messieurs...)chez le fleuriste, le chocolatier, la boutique de lingerie, mais la foule la plus dense était à la pharmacie. Évidemment, j'étais la seule qui n'avait pas de chocolats ou de petits trucs avec des coeurs dans son panier. Seulement des vitamines (vrai de vrai!)... Il fallait aussi, pendant que j'étais à la caisse, que le code barre sur ma bouteille ne fonctionne pas et la file derrière moi ne cessait de s'allonger...

Devant un tel chaos, je comprends ceux qui disent que la Saint-Valentin n'est qu'une fête commerciale. C'est vrai... toute cette fébrilité sur fond du schlick-schlick d'une carte de crédit, ce n'est pas très romantique...

J'ai une suggestion pour ceux et celles qui ne veulent pas subir les foules, sont fauchés ou qui sont à court d'idées (ou une combinaison des 3!):

Cette initiative belge date de l'année dernière, mais demeure tout de même applicable cette année (ou en tout temps!)!

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"Et toi? C'est pour quand?"

Image: Tiffany & Co

***Comme c’est la Saint-Valentin cette semaine, je continue ma petite série sur l’amour et tout ce qui vient autour***

En l’espace d’une toute petite année, 5 personnes de mon entourage se sont fiancées, 2 se sont mariées et 2 ont eu des enfants. Juste pendant la période des Fêtes qui vient de passer, 3 d’entre elles se sont fiancées!. Déjà, cet été, j’ai 2 mariages de prévus. Donc, évidemment, la question qui me revient sans cesse : « Et toi, les fiançailles? C’est pour bientôt? »

Épineuse question :-P Au fil des années, mes réponses (« Je ne sais pas » ou « ça ne dépend pas juste de moi ») commencent à sonner comme des disques usés… Même si je partage la joie de mes amis, je l’avoue, c’est parfois difficile de voir les autres se fiancer et d’attendre patiemment son tour… mais, je me dis que l’attente en vaudra bien la peine. Comme plusieurs de mes compatriotes, j’aimerais que tout soit parfait : la bague [dans une petite boîte bleue-turquoise de préférence ☺], les sentiments, la mise en scène… Yeah, right! En fait, comme il n’y a rien de parfait en ce bas monde, j’aimerais quelque chose de pas compliqué, de mémorable, mais surtout de bon goût. Pas de déclaration tapageuse sur le Jumbotron du Centre Bell ni de déclaration à la va-vite sur le coin d’une rue en attendant un changement de lumière ou au-dessus d’un BigMac chez McDo, la bouche à moitié pleine… non… Oui, je suis exigeante, car je veux aussi que ce soit original… mais également romantique et pour illustrer, je vous soumets ce petit vidéo :

Douteux… mais il faut avouer que l’originalité y est, mais pas le romantisme ni le bon goût! Inutile de vous dire que présentée avec une telle demande, je dirais NON! Avis aux gars qui s’apprêtent à « popper » la question bientôt (mmm… je me demande si c’est déjà arrivé…)!

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Ah...Saint-Valentin...

Bien qu’elle soit souvent décriée comme une fête mercantile, toutes les filles que je connaisse s’attendent à un petit quelque chose de spécial de la part de leurs namoureux pour la Saint-Valentin. Avec une telle attente, c’est probablement une période de grand stress pour les zhommes… Je dois avouer qu’il y a beaucoup d’efforts de la part des messieurs pour nous surprendre, mais parfois, malgré toutes les bonnes intentions, le résultat est, disons le…quelque peu… malheureux

Parmi les pires cadeaux que j’ai recensés, j’ai un ami qui a un jour donné des nouilles instantanées avec une peluche à sa douce pour la Saint-Valentin (histoire vraie!)… C’était probablement une blague, mais la fille, elle, ne l’a probablement pas trouvé très drôle…

Donc, pour éviter les cadeaux pourris et les déceptions assurées, j’ai trouvé un site qui répertorie les 10 pires idées cadeaux pour la Saint-Valentin et je me permets d’en commenter quelques unes ici :

1) Le traditionnel bouquet de roses rouges : C’est vrai…Une grande majorité de filles (dont moi) aiment recevoir des fleurs, mais une douzaine de roses rouges pour la Saint-Valentin, je trouve que ça manque d’originalité (surtout si accompagnée d’une boîte de chocolats de pharmacie!). En plus, les roses, ça ne dure pas très longtemps… Selon l’article, une alternative serait des fleurs inhabituelles, comme des orchidées. J’approuve, j’approuve… tant que ce ne soit pas une plante verte!

2) Un bijou qui vient dans une petite boîte : Bien que la plupart des filles aiment ce qui brille, le problème ici c’est la petite boîte. Trop d’expectatives : il y a certaines journées dans l’année où une fille s’attend à se faire demander en mariage (anniversaire, Noël, nouvel an par exemple) et la Saint-Valentin, même si un peu cliché, est LA journée par excellence. Là-dessus, je suis assez d’accord. Ça m’est déjà arrivé: À mon anniversaire, j’ai reçu une belle petite boîte de chez Birks et à l’intérieur… des boucles d’oreilles. Elles étaient superbes et j’étais bien contente, mais j’ai quand même eu un petit pincement au cœur. Donc, si la grande demande n’a pas encore eu lieu et que la boîte ne contient rien de moins qu’une bague de fiançailles, ce sera une (très) grande déception pour la fille (surtout si la boîte est bleue!)

3) Savons et produits pour le bain: Quoiqu’en disent les pubs des pharmacies et des boutiques de produits de beauté, je ne connais pas une fille qui aime recevoir des savons pour la Saint-Valentin. C’est risqué, car ça pourrait envoyer le mauvais message (du genre : manque d’hygiène personnelle!). Donc, il faut oublier le Dove (j’ai déjà vu ça comme cadeau…) De la même manière, un rasoir… je me souviens d’avoir vu des emballages cadeaux par Gillette….mmm…également à proscrire!

4) Quelque chose de très pratique : Par exemple, une balance ou un « Dirt Devil »… Aïe, je plains celle qui a reçu une balance pour la Saint-Valentin! Pourtant, vrai de vrai, j’ai vu des publicités justement à l’occasion de la Saint-Valentin pour des produits comme des aspirateurs, fours et autres appareils ménagers. Ça, ce n’est pas romantique …

Ce qui me fait sourire dans ces listes, c’est qu’elles sont probablement tirées d’histoires vraies… Pour d’autres mauvaises idées et des solutions, cliquer ici.

Quand j’y pense, c’est beaucoup de pression pour trouver ZE cadeau parfait. Je ne suis pas une experte, mais d’après moi, ce qui marche à coups sûrs : une carte avec un mot doux, un dîner dans un beau petit resto (ou encore un repas préparé avec amour) et passer du temps ensemble. C’est peut-être cliché, mais oh combien efficace! L’important, c’est d'avoir l'intention de souligner cette journée des amoureux avec son namoureux (ou namoureuse), de manière originale si possible et si on est seul, de passer du temps avec des amis. Après tout, l’amour, ça peut comprendre l’amitié, non?

Et vous, faites-vous quelque chose pour la Saint-Valentin?


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Rencontre entre l'Est et l'West

C'est la crémonie des Grammy's ce soir et parmi les favoris se trouve Kanye West. Même si je ne suis pas une grande fan de hip hop, je vous poste ce petit vidéo que j'aime bien, fruit d'une collaboration entre Kanye et... l'artiste japonais Murakami (dont je vous ai déjà parlé ici)!

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Ce que les gens peuvent faire en dormant...

Image: www.bluebuddies.com

S’il y a un domaine du droit où les causes se lisent comme des romans, c’est bien le droit pénal. Je me souviens d’un cas assez bizarre… Grosso modo, c’était l’histoire d’un homme qui a été accusé d’avoir attaqué ses parents et de les avoir gravement blessés. Jusqu’à là, rien de bien étrange… sauf que l’homme en question, comme moyen de défense, avait invoqué le fait qu’il était somnambule et ne savait pas ce qu’il faisait (même s’il avait conduit 23 km pour se rendre chez ses parents avant de les attaquer!). C’est un moyen de défense assez rare, mais voilà qu’aujourd’hui, le très sérieux Globe and Mail nous en rapporte un autre cas.

Cette fois, c’est un homme a été accusé d’avoir agressé sexuellement une femme… alors qu’il était somnambule! Cet homme avait l’habitude de faire la chose pendant qu’il dormait, mais lorsqu’il s’est essayé sur une femme (qui n’était pas sa conjointe), celle-ci a porté plainte. Trop bizarre… Lire l’article complet ici.

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Bonne Année (du rat)!

Bonne année 4705!

Pour la plupart des pays asiatiques (et moi), c'est aujourd'hui le nouvel an, sous le signe du rat. C'est donc l'année de ceux et celles qui sont nés en 1972, 1984 et 1996. La tradition veut que tout ce que l'on va faire aujourd'hui se répétera le reste de l'année. Ce qui veut dire qu'on ne devrait pas faire de ménage (juste au cas où on balayerait la prospérité ou la chance hors de la maison...), pas payer de facture (qui veut une sortie d'argent à l'année longue?) ou de mésententes en ce jour de l'an (sinon chicanes pour le reste de l'année!). Juste de bonnes choses: de la bouffe, des sous et pour moi, un cocktail ce soir chez un employeur potentiel.

Je vous souhaite à tous de la santé, de la prospérité et surtout beaucoup de bonheur!

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Un concert de musique classique... différent

www.videogameslive.com

J’ai beau être une fille, adorer les petits pots et le shopping, mais je dois avouer que j’ai aussi un (petit) côté geek. Bon d’accord, j'utilise un Mac, coder m’enrage et je ne suis pas vraiment une « gamer » (sauf pour Cooking Mama, un jeu de cuisine par Nintendo), mais lorsque j’ai vu une annonce pour un concert mettant en vedette de la musique de jeux vidéo, ça a réveillé la « geekette » en moi.

L’idée est originale : un orchestre symphonique qui joue du… Mario Bros (Halo, Sonic et Pong)! Video Games Live, l’orchestre en question, donnera 2 concerts à Montréal demain et vendredi (8 février). Allier musique classique et jeu vidéo, ça donne:

À en croire le site, c'est un événement fort populaire (il y a des concerts partout autour du monde!). Plus d'info ici

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Vente StyleExchange - 7 au 10 février

Bon... je suis bel et bien débordée, mais jamais trop pour annoncer une vente (surtout lorsqu'elle s'annonce bonne!) Avis à ceux et celles qui veulent renouveler leurs stocks de jeans 7 for all mankind et autres.

Image: www.stylexchange.com

Où: Hôtel Ruby Foo (quelques blocs du Métro Namur)

Comment: cartes, débit et $$$

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C'est le sprint!

Jusqu'au 6 février, c'est le sprint final pour la remise des candidatures dans le cadre de la course au stage et il me reste encore quelques détails à finaliser... d'ici là, je vous laisse à un concert de Mozart version la Linea, un de mes dessins animés préférés

Mozart (environ 6m30)

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Pause Blog: Ma vie est tout à fait fascinante

image: www.penelope-jolicoeur.com

Non, ce n’est pas ma vie qui est tout à fait fascinante, mais bien celle de Pénélope Bagieu, dit Jolicoeur. Encore un autre blog que j'ai découvert, comme je le fais souvent, par hasard... (Décidément, j'en découvre des choses par hasard!)

À chaque jour, cette parisienne de 26 ans nous fait découvrir une tranche de sa vie au travers d’un blog en image et ce que j’aime, c’est que, comme fille, on peut toutes se reconnaître dans les situations illustrées… comme celle-ci par exemple:

image: "Rester digne" par Pénélope Jolicoeur (www.penelope-jolicoeur.com)

Oublier de s'épiler les jambes ou avoir des chaussettes trouées (en plus d'être dépareillées) lors d'un essayage... situation embarassante...N'essayez pas, je suis sûre que ça vous est déjà arrivé ou au moins, ça vous a déjà traversé l'esprit :-P

Bref, un blog coup de coeur que je vous invite à découvrir (en cliquant sur les images de ce post)!

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Évasion

Une autre journée horrible côté météo… nous n’avons pas eu les 25 cm de neige prévu, mais du verglas… S’il y a quelque chose que je déteste c’est bien le verglas. Ces petits morceaux de glace qui me bombardent le visage, ça fait mal… Sans compter les trottoirs qui deviennent de véritables patinoires et les déplacements qui prennent 2 fois plus de temps… Urg…

Pour bien commencer le weekend et oublier ce qui nous tombe sur la tête présentement, pourquoi ne pas s’évader dans un autre monde… Je vous propose celui assez original et pété de Murakami. Voici in petit vidéo tout mignon avec un message (publicitaire) subliminal. Je vous laisse le soin de le découvrir (l’indice est dans le titre!)

Murakami - Superflat Monogram

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C'est à mon tour...

Image credit: Rery

Depuis des semaines, partout où je vais, je ne peux pas faire un pas sans entendre ces sons :

« cough! » « cough! » « snirf! »

Jusqu’à maintenant, j’ai été chanceuse. Pendant que les autres autour de moi reniflaient et tombaient victimes de ces minuscules bibittes capables de réduire un homme à néant, je m’en tirais bien. Pour déjouer l’ennemi, je me lavais les mains 100 fois par jour et abusais du Purell (qui, parfois, me révélait avec douleur des coupures dont j’ignorais l’existence…) En plus, je n’hésitais plus à troquer style pour chaleur. Je croyais bien m’en être sauvée… un 2e hiver sans rhume ni grippe, serait-ce possible?


Ben non, c’était trop beau pour durer… Ça a commencé par une petite gratouille dans le fond de la gorge un dimanche matin pour ensuite dégénérer en une fatigue générale et la sensation d’avoir un presto à la place des sinus aujourd’hui. J’ai même les oreilles bouchées, ce qui fait que j’ai l’impression d’entendre à travers un scaphandre. Les médicaments, ça aide à alléger les symptômes, mais ça me laisse une impression de flottement pendant quelques heures. Ce n’est pas complètement désagréable, mais je préfère de loin être en santé. Pour l’instant, je n’ai qu’un souhait : rester au lit et manger de la soupe au poulet (riz et poulet…mmmm….)

C’est pendant ces moments où j’aimerais retomber en enfance… Enfant, lorsque j’étais malade, même si c’était juste un début timide de rhume, je pouvais rester chez moi, en pyjama, à manger des pop-sicles et regarder des dessins animés. Mais maintenant que je suis grande, même dans un état de zombie, je me force à aller au boulot ou à assister à mes cours. C’est fou comme les priorités changent : le boulot avant et la santé après…C’est sûrement ça devenir adulte…

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Il y en a vraiment pour tous les goûts

Image source: wikimedia

L’hiver… d’habitude, j’aime bien. La neige qui tombe doucement pendant que je suis au chaud à l’intérieur de ma chaumière, un bon livre à la main en étant emmitouflée dans une bonne couverture bien épaisse…. Ah… la scène est idyllique… Je dis bien « d’habitude », car des jours comme aujourd’hui, je crois que je pourrais bien m’en passer : de la pluie le matin, puis de la grêle/verglas, accompagné de vents froids et si forts que j’ai failli faire ma propre version « live » de Mary Poppins.

Dans ces moments, j’ai une grande envie de cocooning et qui dit cocooning dit aussi décoration intérieure. Je l’avoue, je suis une grande consommatrice d’émissions de décoration. Au début de chaque mois, je me jette sur les rubriques déco des revues de mode et j’aime imaginer mon futur intérieur, décoré avec simplicité et goût.

Cependant, c’est justement ce que je crois qu’il me manque : du goût. Non, mais, c’est vrai! Même si je sais apprécier, quand vient le temps pour moi de m’y mettre, je panique et c’est la panne sèche d’idées. Je serais du genre à aller chez Ikea et d’acheter le décor-témoin. C’est plus simple ou encore, lorsque j’aurai les moyens, de m’en remettre à un designer. Là encore, il faut savoir choisir LA personne qui va s’occuper de décorer notre nid.

Je vous présente Lynda Tremblay, une « designeure » qui a sa propre boutique à Baie St-Paul, près de Québec. À en croire ce vidéo, même les pros n’ont pas tous l’œil…. Gardons en tête qu’il est possible que ces clients ont du débourser des sous pour ainsi transformer leur décor, avec des résultats, à mon humble avis, euh… douteux.

Finalement, j’ai peut-être plus de goût que je le pense…

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Un congé pour soigner un cœur brisé (ou pour aller magasiner)

Image source: www.irishhealth.com

Après les congés-maladies, congés de maternité, congés parentaux et autres, voilà maintenant qu’une firme japonaise innove en offrant à ses employés un congé pour cause de rupture amoureuse!

C’est la très sérieuse agence Reuters qui nous rapporte cette nouvelle pour le moins étonnante (cliquer ici pour le texte complet de Reuters)

La logique derrière cette mesure est qu’un employé en peine d’amour serait moins productif au travail. Quand j’y pense, ça fait du sens : qui a envie d’être au boulot les yeux bouffis et le cœur en miettes? Donc, au lieu de subir une diminution de productivité parce que les employés s’absentent du travail en prétextant d’être malade, cette firme a tout simplement décidé d’officialiser la chose.

Ce qui est intéressant, c’est que la durée du congé varie en fonction de l’âge : une journée de « heartbreak leave » pour celles qui ont moins de 24 ans, 2 jours pour celles qui ont entre 25-29 ans et 3 jours de congés pour celles qui ont plus de 30 ans. La raison de cette différence : les femmes de plus de 30 ans se remettent plus difficilement d’une séparation tandis que les plus jeunes, puisque plus volage, auraient moins de difficulté à se trouver un nouveau partenaire (!)

Donc, les japonaises aux cœurs brisés peuvent prendre au moins une journée pour pleurer toutes les larmes de leurs corps ou se consoler au spa avant de revenir travailler l'esprit partiellement libéré.

Aussi, selon le même article, cette firme offre déjà 2 avant-midi de congés par année à ses employés pour pouvoir profiter des soldes! L’histoire ne dit pas si ces politiques s’applique aux hommes fashion victimes en peine d’amour…

Non, mais, on n’arrête pas le progrès!

PostScript : En parlant de solde, Lululemon (les vêtements de yoga qu’on ne veut jamais quitter) tient sa vente entrepôt annuelle du 31 janvier au 3 février… à Ottawa (au Pavillon Aberdeen dans le parc Landsdowne pour ceux que ça pourrait intéresser – cliquer ici pour plus de détails). Si seulement nous pouvions bénéficier de ces avant-midi de congés pour cause de soldes!

PostScript 2 : Un autre solde à annoncer… selon Eva Friede du quotidien la Gazette, la boutique Abe & Mary (un genre de boutique de vêtement comme on en retrouve en Californie) tient une vente sur ses collections d’hiver… tenez-vous bien : 70% sur des marques telles que Vince, Alice+Olivia et autres tellement hype que je ne les connais pas. Ça c’est ce que j’appelle un vrai solde… vous saurez où me trouver ce weekend!


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20 ans après et on en parle toujours...

Image source: abcnews.com

Il y a 20 ans aujourd’hui, la décision R. c. Morgentaler a été rendue. Ainsi, depuis 1988, l’avortement n’est plus considéré comme un acte criminel au Canada. Dépendant de quel côté du débat on se situe, c’est soit la victoire de la liberté de choix qu’a une femme sur son corps que l’on célèbre ou la défaite du droit à la vie d’un fœtus que l’on pleure.

Les médias, surtout canadiens, ont bien sûr souligné cet anniversaire à coup d’analyses, d’entrevues et de témoignages et c’était difficile de l’ignorer aujourd’hui. Cette décision est parmi les premières que j’ai étudiées et elle m’a marquée, car pour une fois, j’en avais entendu parlé avant de commencer à l’analyser. Elle n’est peut-être pas la décision la plus étoffée ou au raisonnement juridique le plus révolutionnaire, mais d’après moi, c’est celle qui a eu le plus grand impact sur la société. Que l’on soit pour ou contre, il est certain qu’elle encore suscite beaucoup d’intérêt. La preuve : 20 ans après, on en parle encore avec beaucoup d’émotion à en lire les dossiers qui apparaissent périodiquement dans les journaux.

Il faut se rappeler que la décision que l’on souligne aujourd’hui n’a fait que décriminaliser l’avortement et que le débat sur la détermination du moment où commence la vie demeure toujours ouvert. Les juges de l’époque ne voulaient pas ouvrir cette boîte de Pandore et depuis, personne ne veut vraiment s’y aventurer et je les comprends.

Quoi qu’on en dise, ce débat est bien loin d’être clos .

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Igloo...Igloo...IGLOOFEST 2008!

Hier soir, j’ai sorti ma plus belle tuque et mes chaussettes les plus chaudes pour aller faire… une randonnée romantique au clair de lune? Non… pour aller danser! Oui, oui pour aller « clubber » en plein air à -10C au Igloofest dans le Vieux-Port de Montréal.

Je n’étais pas la seule à braver le temps frisquet puisque nous étions des centaines d’amateurs de musique électronique à nous trémousser et à se laisser emporter par les rythmes endiablés des DJs Mateo Murphy et Thomas Schumacher. À force de bouger, même la frileuse que je suis n’a pas eu froid (il faut aussi dire que j’ai prévu le coup et que j’avais 3 couches de vêtements!). J’ai trouvé un vidéo qui a été tourné la semaine dernière, mais, à l'exception des Teletubbies, ça résume assez bien l’ambiance que l’on retrouvait hier:

Non seulement c’était un régal pour les oreilles, mais également pour les yeux et pour cause. Il y avait un concours du plus « beau one-piece »…ah… ces merveilleux habits de neige au style d’une autre époque et aux couleurs douteuses… Certains m’ont d’ailleurs (malheureusement) rappelé des souvenirs (oui, plus jeune, j’ai déjà eu un costume de neige fluo, mais qui de ma génération n’en avait pas?). Le pire, c’est qu’en fouillant un peu, je ne serais pas surprise d’en retrouver un chez moi…

Voici quelques exemples des looks que l'on pouvait apercevoir sur la piste de danse hier ainsi que la semaine dernière:

"L'asperge"

"Bodhi" (Un vrai wet-suit!)

"Fluo Poulets"

"Chuck Norris" (Mes préférés!)

Je n'ai pas pu voir tout ce beau monde hier, mais on peut voir plus de photos ici. De plus, comme il s'agit d'un concours, on peut également voter pour son costume favori.

Je n’ai malheureusement pas de photo du meilleur look de la soirée : un homme masqué tenu en laisse par sa conjointe de style Sado/maso/goth… Nous sommes loin du look sexy qu’on retrouve habituellement en boîte de nuit!

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Soldes: résister à la tentation ou comment en profiter intelligemment

Image source: www.mimifroufrou.com

Vendredi.... c'est enfin le début de la fin de semaine. À la sortie du bureau, comme à mon habitude, je suis allée faire un petit tour à ma boutique préférée, Club Monaco, pour voir s'il y avait quelque chose en solde qui vaille la peine. Jusqu'à là, rien de bien anormal...

Mais, il y a une différence subtile. Depuis le début de cette année, j'ai comme résolution non-officielle de faire des achats plus réfléchis et moins impulsifs... oui, c'est du sérieux! Donc, plus de truc-mignon-sur-le-coup-mais-immonde-une-fois-à-la-maison-parce-que-pas-cher (j'aurais trop honte d'énumérer tous les achats qui entreraient dans cette catégorie!). Avec ces trucs, je pourrais probablement fournir l'Armée du Salut pendant un bon moment.

Ok... un exemple: un polar orange à capuchon... il traîne dans le fond de mon garde-robe depuis 2 ans. Un autre? Une robe T5S plutôt faite pour une fille de 15 ans... urg... je me demande bien ce qui m'est passé par la tête à ce moment-là... Quand c'est pas cher, c'est parfois ardu de différencier le beau et bon du moche et regretable.

Pour m'aider dans cette démarche, la Gazette a publié un article qui se veut un "how to guide" du shopping des soldes. Selon la journaliste, il faut profiter de cette période pour s'acheter un manteau, refaire le plein de basiques et de cachemire ainsi que pour se dénicher des pièces qui pourraient se reporter été comme hiver. C'est ce que j'ai fait: un beau petit haut en soie et une veste en laine... très raisonnables. Pour celles qui veulent un manteau, il en reste et pour les tailles, encore une fois: S, M et L à profusion (et pas que dans les manteaux!).

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Course aux stages : 3…2…1…et c’est reparti!

Image credit: www.portlandwebvisibility.com

Il vient un moment où, comme étudiant, il faut songer à sa future carrière. Souvent, la recherche d’emploi se fait une fois le diplôme en poche, mais en droit, elle se fait principalement par la course aux stages. C’est pratiquement devenu un rituel : dès la 2e année, les étudiants sont fortement courtisés par les plus grands bureaux d’avocats montréalais. Qu’est-ce que je raconte : c’est plutôt dès son entrée à la Fac de Droit qu’un étudiant apprend à connaître « la course » et qu’il commence à stresser. Je dois avouer que dès ma première année et même un peu avant, j’appréhendais ce moment apparemment fou. C’est en partie vrai, mais ça tient en bonne partie de la légende urbaine. Après y avoir passé au travers l’an dernier, j’ai survécu et je me prépare à y replonger de plus bel.

Pour moi, le véritable coup d’envoi de la course se fait par la Journée Carrière, qui a d’ailleurs eu lieu aujourd’hui. Les bureaux d’avocats viennent sur place pour répondre aux questions des étudiants et rivalisent d’imagination en matière de produits promotionnels.

Durant les 3 années où j’y ai participé, parmi les plus originaux, j’ai vu :

- Une boîte de céréale avec le nom de la firme
- Des œufs avec des petites boules dedans
- Un foulard avec une carte du CV de Montréal indiquant l’emplacement du bureau
- Des speakers de Ipod
- Des clés USB (déjà vu, mais oh combien pratique!)
- Un bloc-notes avec « personne ne lit les brochures » (mais, je les lis moi…)

Nous sommes bien loin des stylos arborant le nom de la firme ou de la simple brochure! Un jour, j’aimerais être sur l’équipe qui décide des produits promotionnels… Mais, faut-il le rappeler, la journée carrière n’est pas uniquement l’occasion de faire une récolte de gadgets… il y a les avocats à rencontrer et des bureaux à découvrir aussi!

De ce côté, je dois avouer que c’était un peu chaotique. Un couloir très passant près d’une cafeteria ou encore près du café étudiant n’est pas l’endroit indiqué pour pouvoir discuter les tendances du droit et du style de pratique du bureau X. Le truc, c’est d’arriver tôt, pendant que la majorité des étudiants sont en cours. Mais ce moment de répit n’a été que de courte durée, puisque qu’en ce qui a semblé quelques minutes, une horde d’étudiants ont pris d’assaut les kiosques (à tel point qu’on avait de la difficulté à se déplacer sans « tackler » quelqu’un) et bombardé les représentants de questions… dont ma préférée :

« Est-ce que vous travaillez des heures normales? »
(Je doute qu’un bureau dise « nous, on veut que nos avocats travaillent jusqu’à minuit tous les soirs et qu’ils n’aient pas de vie à l’extérieur du bureau »… c’est sûr qu’ils nous disent tous oui, ils travaillent des heures raisonnables et qu’ils sont bien accommodants, mais la réalité demeure que c’est le client qui dicte un peu l’horaire. Il faut quand même en être conscient. De plus, c’est quoi des heures normales? Moi, quand j’ai quelque chose à finir, je reste parfois tard et je trouve ça normal)

Je me demande bien ce que les représentants peuvent entendre en une journée comme celle-ci. J’espère un jour pouvoir faire les journées carrières en tant que représentant de mon bureau, pour voir tous ces étudiants avec les yeux brillants et pleins d’espoirs… ah…tellement d’appelés, mais si peu d’élus…

Malgré les quelques désagréments qui ont accompagné cet exercice, ce fut mission accomplie : j’ai eu la chance de parler avec quelques personnes, renouer avec des firmes et de découvrir au moins 2 firmes que je ne connaissais pas et qui, finalement, m’intéressent.

Prochaine étape : l’envoi de CV et les entrevues… à suivre!

PostScript : Un nouveau scandale financier aujourd’hui… 7 MILLIARDS $! À qui la faute? Un « rogue trader » chez Société Générale…hmmm…. Ça augure mal….

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Pause Blog: Deedee Paris

source: www.deedeeparis.com

Pour ce 3e post, je vous présente un blog que j’aime beaucoup et qui en quelque sorte m’a inspiré à commencer celui-ci….et j’ai nommé : Deedeeparis!

J’ai découvert ce petit bijou de blog l’été dernier, au hasard (comme beaucoup de mes trouvailles). Je ne me souviens plus ce que je cherchais, mais une fois que Google me l’a présentée, je suis tombée sous le charme et depuis, j’y retourne quotidiennement. Je ne suis pas seule à être fan puisqu’elle semble fort populaire sur la blogosphère.

Comme son titre l’indique, ce blog est essentiellement « la vie trépidante et truculente d’une parisienne à Paris », la vie de Deedee, quoi. Qui est-elle? Je ne la connais pas personnellement, mais de ce que j’ai lu, c’est une jeune femme qui œuvre dans la presse qui parle de choses qui l’intéressent : la mode, la vie, et ce que j’aime par-dessus tout, ses découvertes. Tout ça avec un style d’écriture fluide, parfait pour une petite pause lecture en sirotant un thé ou avant le dodo. En boni, le layout visuel est très attrayant. C’est en quelque sorte une petite fenêtre sur la vie d’une parisienne à la fois girly et geeky. À défaut de vivre à Paris pour vrai, j’y vis par procuration (ok… je pousse un peu!).

Bref, à découvrir absolument!

PostScript: Un gros merki à TaoQuay, le Dieu du HTML et incidemment mon frérot, pour son aide avec l'ajout de fonctions à ce petit blog... arrête de rire TaoQuay, CompSci était dans une autre de mes vies!

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Et une nouvelle aventure commence...

Depuis quelques mois, je suis une lectrice assidue de blogs... blogs d'amis, blogs d'opinion, blogs de filles, blogs d'images, etc, ce qui m'a donné le goût de moi aussi rejoindre la "blogosphère". Oui, j'ai déjà eu un blog en 2005, mais faute de temps, et peut-être de volonté, je me suis arrêtée à 7 posts... Nouvelle année, nouvelle aventure, je me ré-essaie et je vais essayer de dépasser le cap du 7 cette fois.

En partie nommé en l'honneur d'une télésérie que je regarde en secret ("le temps d'une paix"), ce blog se veut comme une petite pause dans mon quotidien.

Alors voilà... c'est parti mon kiki!

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J'aime les soldes - 60% off chez Jacob

source: www.jacob.ca

Ceux qui me connaissent savent que j'aime bien faire les magasins. Pour moi, un peu de "retail therapy" est l'exutoire par excellence quand ça va mal ou lorsque le stress me sort par les oreilles. Comme toute bonne magasineuse, je fouine également les rayons quand ça va bien et encore plus lorsque j'ai fait un bon coup, question de me récompenser.

Ce que j'aime par-dessus tout c'est de trouver des soldes, mais surtout de les partager. Comme première solde à partager, celle de Jacob et de toutes ses bannières (dont j'ai reproduit l'annonce ici) qui a commencé la semaine dernière.

Eh oui, ne pouvant pas résister à un "bargain", je suis allée y faire un petit tour vendredi dernier et oui, je peux certifier que ça vaut la peine... J'en suis ressortie avec un petit manteau rouge et un foulard. Il y a du beau "linge de bureau" à un prix mini (approuvée par la cheap que je suis) et même les sous-vêtements sont en soldes (on n'a jamais assez de petites culottes ou de vestes molles pour "lounger" chez soi). Les chanceuses qui portent du S, M ou L vont trouver une bonne sélection à celui qui est situé dans le Complexe les Ailes (Centre-ville).

Donc avis à celles qui veulent... euh... qui ont besoin renouveller leur garde-robe!

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